Pour primes non perçues lors de la Mara’Can, Grand-Popo 2023: Les Guépards Maracaniers confisquent les maillots
Éviter le contre la montre pour l’aboutissement du processus
La 10è édition de la Mara’Can, Grand-Popo 2023 n’a pas encore fini de livrer tous ses secrets. Les Guépards béninois ont bu le calice jusqu’à la lie. Après une participation en demi-teinte (finaliste chez les Seniors et quart de finaliste chez les Supers Seniors) à cette compétition, ils n’ont pas reçu les primes à eux promises. Pour manifester leurs mécontentements, ils ont décidé de confisquer les maillots de l’équipe nationale.
Les jours passent et se ressemblent pour les Guépards Maracniers. Après leur participation à la 10è édition de la Mara’Can 2023, ils continuent de ronger leur frein. Les joueurs béninois qui avaient déjà boudé la mise au vert à cause des mauvais traitements des dirigeants à leur endroit avant de revenir en de meilleurs sentiments, poursuivent leur légende méconnue. Ainsi, pour des primes non perçues, ils ont fait main basse sur les maillots. Une manière pour eux de manifester leurs mécontentements et de réclamer leur dû. D’après nos investigations auprès des dirigeants du Comité de Normalisation (CoNor), les primes promises aux joueurs n’ont pas encore été payées parce que le chèque destiné pour, n’est pas encore prêt. Une information qui ne rassure pas les joueurs. In fine, ils ont choisi de ne pas remettre les équipements mis à leurs dispositions. Une énième situation conflictuelle pour cette discipline au Bénin.
Éviter le contre la montre pour l’aboutissement du processus
En ce qui concerne le processus devant conduire à la mise en place d’un nouveau bureau exécutif, le président de la Fédération Internationale de Maracaña Association (FIMAA), Bleu Charlemagne a été on ne peut plus clair. Pour le numéro un de la discipline de la Convivialité, Fraternité et de l’Amitié (CFA), le CoNor doit travailler pour y arriver afin de ne pas tomber dans un vide juridique. Pour l’Ivoirien, le CoNor est appelé à un baroud d’honneur pour faire aboutir ce processus qui va conduire à une Assemblée générale élective. Le délai imparti étant presque à terme, il revient au CoNor de colmater les brèches afin de procéder aux derniers réglages. Mais à l’allure où vont les choses, de sérieux doutes planent sur la tenue effective d’un tel défi. Le CoNor doit prouver sa capacité de faire les choses selon les normes de la FIMAAA. Compte tenu des exigences, les membres du CoNor sont appelés à faire preuve d’impartialité pour renchérir le partenariat.
B.K.